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une chute impressionnante
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Par etrical le 20 Décembre 2013 à 15:59
Une jeune cavalière décedée dans des circonstances très tristes:
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Par etrical le 26 Août 2013 à 11:21
Bonjour,
C'est encore une fois deux chutes qui se terminent très mal, suite à un pied resté coincé dans un étrier.
Les conséquences dramatiques et très tristes nous poussent encore une fois à essayer de faire changer les mentalités en vous proposant des étriers de sécurité afin que ceci ne se reproduise jamais.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2013/07/20130711-193111.html
Avec beaucoup de tristesse,
L'équipe Etrical
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Par etrical le 21 Mai 2012 à 11:42
Bonjour à tous !
Après une petite incursion dans l’arbre généalogique d’Etrical avec l'article sur les ancêtres de l'étrier à coques, on reste dans la famille plus ou moins proche, avec un panorama de ses « cousins » : les différents principes d’étriers de sécurité existant à notre époque.
En effet, il existe plusieurs types d’étriers visant à assurer le dégagement du pied du cavalier en cas de chute. Petit tour d’horizon !
Les étriers à élastiques
Ce sont certainement les plus connus, et les moins chers. Le principe est simple : la branche extérieure de l’étrier est remplacée par un élastique crocheté en haut et en bas, qui doit se décrocher et/ou casser en cas de chute, sous la pression du pied du cavalier. Ces étriers sont peu confortables, et efficaces à 90%, il arrive en effet que l’élastique ne se décroche pas ou ne casse pas, ou, que selon l’angle du pied, le système ne serve à rien.
Il est conseillé de vérifier régulièrement les élastiques.
Les étriers à branche déportée
Ils ont un look assez classique : imaginez un étrier inox dont on aurait tordu la branche externe afin de l’élargir, et de réduire ainsi les risques que le pied reste coincé. Malheureusement ce système n’empêche pas le pied de rester coincé si il tourne dans l’étrier lors de la chute.
Ici en version classique et Islandaise :
Les étriers monobranche
Ces étriers sont ouverts sur le haut, avec une branche externe plus courte et faite d’une matière souple, qui se ploie en cas de chute pour laisser le pied s’échapper. Ce système est efficace. On peut déplorer que peu de marques proposent ce système, et qu’il est souvent hors de portée de la plupart des bourses !
Les étriers à clips (et clips pour étriers)
Un système intégré à l’étrier ou qui se rajoute sur celui-ci et conçu pour se déclipser en cas de traction. Selon les circonstances, ce système n’est pas efficace à 100%.
Les étriers Look ne sont plus commercialisés à ce jour suite à un manque de fiabilité du système (décrochement sur le plat sans raisons, mal adapté au poids de certains cavaliers).
Les étriers basculants
Ces étriers basculants sont inspirés de l’ancien système Latchford. La partie inférieure doit de désolidariser complètement de la partie supérieure en cas de chute. Cependant, si le pied ce coince entre les deux branches, ce système ne fonctionne pas.
Les Tapaderos
Ce sont les étriers « fermés » adaptés aux selles western. Comme chez Etrical, c’est un système qui empêche un trop grand enfoncement du pied dans l’étrier.
Les étriers à cage ou à coques
Ces étriers, les plus proches cousins d’Etrical, ont le même principe : limiter également l’enfoncement du pied. Les étriers à cage proposent un système ouvert, fait de lanières de cuir ou de barreaux de fer forgé (étriers camarguais), et les étriers à coques proposent une coque lisse ou ajourée. Il existe également des coques à rajouter sur des étriers classiques.
Nous voyons donc que les systèmes se basant sur la forme d’un étrier classique (à élastiques et déportés) ne sont pas fiables à 100% car ils gardent certains points noirs : selon l’angle de la chute il existe toujours un risque que le pied pivote et reste coincé. Les systèmes « mécaniques » comme les clips ou les étriers basculants posent quant à eux un problème de fiabilité.
Chez Etrical, nous avons choisi et conçu une gamme d’étriers de sécurité à coques pleines et ajourés, car ce système nous a paru le plus fiable et le plus sécurisant. En effet, la plupart de ces étriers visent à permettre au pied de se dégager de l’étrier lors d’une chute, mais seuls les étriers à coques permettent préventivement d’éviter que le pied ne s’enfonce trop dans l’étrier et le traverse.
De plus, ce système de coques nous a permis d’allier le confort à la sécurité en ajoutant un plancher rallongé et amortissant sur notre modèle Randocal, ce qui n’aurait pas été possible en utilisant un des autres principes vus ci-dessus.
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Par etrical le 2 Avril 2012 à 14:30
Apparu en Asie plusieurs siècles avant notre ère, l’étrier a d’abord été un accessoire visant à aider le cavalier à se mettre en selle (étrier de monte), avant de se présenter sous la forme que nous connaissons actuellement, à savoir deux anneaux métalliques, accrochés de chaque côté de la selle par l’étrivière, où le cavalier vient glisser ses pieds pour prendre appui.
L’étrier traditionnel a été source d’accidents depuis son invention, certaines formes de l’étrier accentuant le risque en cas de chute, notamment au cours des batailles.
Nous vous proposons aujourd’hui un petit voyage dans le passé, à la rencontre des ancêtres d’Etrical : les étriers de sécurité fermés !
On voir apparaître vers la 15éme siècle l’étrier à cage en fer forgé pour éviter au pied de rester prisonnier mais aussi pour protéger le pied des coups de sabre :
pièce du 18 e siècle en fer forgé sans soudures
Fin 19ème, on trouve des étriers en forme de sabot ou sandale, notamment l'étrier à pantoufle, utilisé pour les amazones. Joli et féminin! (mais pas très pratique )
On trouve également au 19 ème l’étrier d’amazone à décrochement, pas très efficace si le pied se met en travers des branches.
Au Chili l’étrier sabot en bois sculpté, fermé dans sa partie antérieure, protège des arbustes épineux les chaussures du huaso (cavalier) qui monte avec des guêtres en cuir...C'est la version plus "masculine" de l'étrier à pantoufle
Inspiré de l’étrier à cage l’étrier camarguais voit le jour au début du 20ème siècle
On voit donc que de tous temps, les cavaliers ont été conscients du risque que représentait l’étrier ouvert, et ont tenté de pallier à ses défaillances par l’invention de différents systèmes (plus ou moins fiables !).
Dans sa version actuelle, l’étrier de sécurité fermé présente également l’avantage de protègera le pied du cavalier ! Même si de nos jours le risque de se prendre un coup de sabre est relativement limité pour les cavaliers modernes que nous sommes, Etrical ,tout comme ses prédécesseurs, vous protègera des ronces, voire d’un coup de sabot de cheval dans le pied (et ça, c’est du vécu !!!)
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Par etrical le 12 Janvier 2012 à 14:12
Sur cette photo, trouvée sur le Net en parcourant les petites annonces, on voit tout ce qu'il ne faut PAS faire...
Si l'enfant tombe, à votre avis quelles sont les chances que son pied se dégage? Il ne faut pas etre devin pour avoir sa petite idée des conséquences que pourraient avoir une chute dans ces circonstances. De plus, meme si ce n'est pas visible car le visage de l'enfant a été noirci, il ne porte pas de bombe...
Cette photo est le reflet du manque de prise de conscience des cavaliers, parents, enseignants....
Oui, les parents ne sont sans doute pas loin, d'accord, c'était peut-etre "juste pour la photo", et bien sur, le poney est gentil ... Mais pour nous, voir ce genre de photo est inadmissible. Nous esperons changer les mentalités afin que chacun soit conscient des risques encourus, et vous informer au mieux, afin de peut-etre sauver des vies.
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Par etrical le 9 Janvier 2012 à 13:30
Cette vidéo est édifiante. Une séance de CSO, une jeune fille équipée de bottes d'équitation ordinaires et d'étriers classiques, dans un club comme il en existe des milliers...!!! La situation aurait pu très mal tourner, le poney prendre peur de cette cavalière pendue par le pied, et s'emballer, trainant avec lui la jeune fille.
Pourquoi attendre que de tels drames se produisent avant de s'équiper???
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Par etrical le 10 Novembre 2011 à 13:37
ETRIER ... LE PIEGE !
Ne risquez plus l’accident
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Trainé par l’étrier !... un accident qui peut être évité …
On ne peut plus parler de fatalité c’est aujourd’hui un risque reconnu.
Les professionnels ont t’ils le devoir d’informer les clients cavaliers du risque qu’ils encourent en montant avec un étrier traditionnel ? Ou commence le principe de précaution ?... Comment expliquer aux proches qui ont perdu un des leurs dans ce type d’accident, qu’ils n’ont pas eu de chance !… Que l’étrier de sécurité existe mais qu’il n’est pas obligatoire !...Que cela demande un investissement ! … Ou encore qu’ils ne sont pas esthétiques !
Depuis son invention l’étrier traditionnel est la cause de plusieurs centaines de décès, sans compter les traumatisés qui garderont des handicaps à vie. Les témoignages que nous recevons démontrent que ces accidents ne sont pas aussi rares qu’on le dit. Ils sont rarement ébruités dans la presse, sans doute pour ne pas faire de tort à la profession ou à l’établissement dans lequel ils se sont produits et, malheureusement, plutôt que d’anticiper, les écuries ne s’équipent qu’après un accident.
Le phénomène de levier est récurent, l’utilisation de boots avec des semelles à crampons et des étriers non adaptés à la taille du pied favorise le risque, de même que la monte en tennis, ou en chaussures sans talons.
Il est évident qu’un centre équestre ou un loueur d’équidés ne peut pas adapter les étriers à la taille du pied de ses clients qui varie du 36 au 46. Le premier risque est de passer le pied jusqu’à la cheville, l’autre de rester le pied bloqué entre la partie supérieure et le plancher de l’étrier.
Les couteaux des selles ne permettent pas à l’étrivière de se dégager lorsque le cavalier est trainé car la traction se fait vers le bas, de surcroît certaines selles pour poney ( bardettes) et selles sans arçon sont munies de portes étrivières fermées comme un anneau.
Actuellement les étriers de sécurité efficaces ne sont pas nombreux, il y a les monobranches et les étriers fermés avec coques fixes. Les étriers avec les branches articulées peuvent également réduire les risques (le plus souvent l’accrochage du pied se fait entre la partie supérieure et le plancher de l’étrier).
L’investissement pour une paire d’étrier de sécurité revient à 6 euros par an, Il faudrait encourager les inventeurs pour la création de nouveaux étriers de sécurité efficaces, mais aussi apporter des normes aux étriers traditionnels qui n’ont guère évolué depuis des siècles et sont devenus obsolètes.
Equipez-vous afin que ces accidents tragiques ne se produisent plus jamais !!!
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Par etrical le 7 Novembre 2011 à 08:50
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Une histoire bien triste qui nous pousse à réflechir...
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Par etrical le 7 Novembre 2011 à 08:46
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